Les incendies de batteries lithium sont très polluants, car ils dégagent notamment de l’acide fluorhydrique et des oxydes de carbone. L’acide fluorhydrique est corrosif et surtout un agent décalcifiant, il se fixe dans les dents, les os, le sang. En cas de combustion, il peut créer des œdèmes pulmonaires ou malformations osseuses. Pour tous ceux qui vivent près du lieu de l’incendie, il vaudrait mieux mardi rester confinés chez eux, couper les ventilations et calfeutrer avec des linges humides tant que l’incendie n’est pas terminé, et le nuage toxique disparu. Certains maires de communes riveraines ont conseillé dès lundi soir aux parents de ne pas envoyer leurs enfants à l’école mardi pour ne pas respirer de vapeurs potentiellement toxiques. La préfecture de l’Eure vers lequel le nuage se dirige a aussi créé sa propre cellule de crise […] D’un point de vue sanitaire, il va falloir suivre les pompiers qui ont lutté contre cet incendie, car ce sont eux les plus exposés.
Comment arrêter un incendie de batteries au lithium ?
C’est un sujet connu et assez classique maintenant […] Le meilleur moyen est de refroidir, d’immerger, de noyer les batteries dans de l’eau, mais là, avec des milliers de batteries, certains ont évoqué 8 000, le nombre est tellement élevé que cela semble impossible. Il faudrait connaître aussi le niveau de charge des batteries, si elles sont chargées, l’incendie peut durer vraiment longtemps. Le risque de ce genre d’incendie s’accélère avec l’augmentation du nombre de batteries, et avec leur vieillissement. Aux États-Unis et au Canada entre 2016 et 2022, le nombre d’incendies liés à des batteries au lithium dans les centres de déchets a augmenté de 26 %, selon Ryan Fogelman, spécialiste de sécurité incendie.
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
Et pour ceux que ça intéresse une série d’articles ( 3, les 3 très instructifs) publiés dans un journal écologiste « assez sérieux pour moi » Reporterre:
https://reporterre.net/Non-la-voiture-electrique-n-est-pas-ecologique
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Vous imaginez les affairistes faire marche arrière maintenant? quels que soient les problèmes§
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Toujours nier les évidences c’est une constante dans ce « gouvernement »
950 tonnes de batteries au lithium brûlent MAIS il n’y aurait aucun risque de toxicité ….
Alors regardez ce qui s’est passé en Mayenne avec APROCHIM qui recycle des batteries classiques
Autour de cette usine les habitants ne peuvent plus con,sommer leurs légumes, leurs fruits, ,leurs oeufs de poule, arrêter les élevages de chèvres ….. à cause de la pollution
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Sauf que présentement on n’avait au plus à gérer que le « produit fini », à savoir les batteries. Or on file tout droit vers les emmerdes avec la fabrication en multipliant les incertitudes en ce qui concerne gisements et fabrication qui jusqu’à présent ne nous concernaient pas ou de très très loin.
Quand je vois l’apparence de l’accoutrement nécessaire à tout ouvrier travaillant sur zone, je me dis qu’il va peut-être pas tant de volontaires pour ça. On est plus du temps des pionniers des mines de charbon !
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On ne peut pas tout avoir, la tuture électrique c’est pour sauver la planète,.. et la fumée n’est pas transmissible, donc les utilisateurs de tuture électriques ne peuvent être considérés comme des fumiers de voisins infecteurs de fumées possibles, suspects ou probables..
pour l’instant..
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Le roquefort risque gros mais bon, il faut voir les vents. Ce n’est pas toxique mais :
https://www.ladepeche.fr/article/2017/08/02/2621768-fillette-avale-pile-lithium-meurt-apres-an-calvaire-hopital.html
Un problème vient des dendrites qui font des courts circuits qui chauffent et fissurent la batterie
https://mitechnews.com/new-products-contracts/u-m-researchers-study-dendrites-suspected-causing-smart-phone-battery-fires-create-batteries-store-10-times-energy/
L’origine en est la surcharge d’où un circuit électronique qui pilote la charge mais le problème vient aussi de la rupture des filaments :
« Les scientifiques cherchent depuis longtemps à utiliser des nanofils dans les batteries. Des milliers de fois plus fins qu’un cheveu humain, ils sont hautement conducteurs et présentent une grande surface pour le stockage et le transfert des électrons. Cependant, ces filaments sont extrêmement fragiles et résistent mal aux décharges et recharges répétées, ou aux cycles. Dans une batterie lithium-ion typique, ils se dilatent et deviennent cassants, ce qui entraîne des fissures. »
https://news.uci.edu/2016/04/20/all-powered-up/
En effet, plus un filament est fin et mieux il conduit l’électricité mais plus il devient fragile. Mya Le Thai, la doctorante de l’Université de Californie à Irvine a trouvé une solution par hasard mais elle ne sait pas pourquoi…
Alors, qui a la réponse à part moi ?
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En tout cas, les occultistes ne sont pas prêts de résoudre leurs problèmes et ont intérêt de manipuler leurs batteries de champion du monde avec précaution…. 🙂
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Une note optimiste. On pensait que les trucs bourrés d’ADN ou ARN trafiqués étaient le summum de l’horreur et on a enfin trouvé un truc pour éclipser tout ça. J’ai hâte de connaître les hic de la filière hydrogène qu’on nous promet. Heureusement qu’on aura peut-être la possibilité d’en sortir très vite avec la 3ème GM qu’on nous prépare… Mais à part ça, madame la Marquise, tout va très bien, tout va très bien.
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Vivement le retour du plomb; au moins on connaît le mal qu’il provoque ! 🙂
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Ping : La voiture électrique, c’est « écolo et sans danger « sauf quand ça brûle; une grosse fumée noire bien dégueulasse comme ça qui monte dans le ciel – Qui m'aime me suive…
Purée les gars… heureusement que vous avez de l’humour pour « compenser » les énormités de nos têtes « pensantes » qui œuvrent seulement pour notre bien et celui de notre planète !
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Un petit agneau de l’Aveyron pour Pâques ? C’est année, ils pèteront le feu…
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Et du Roquefort au dessert !
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que les adeptes de la voiture électriques commencent dejà à laisser leur voiture assez loin pour faire leurs achats dans les centre villes c’est ce que je fait avec ma voiture thermique
les pieds c’est fait pour çà
sinon bientot des ouvertures assez larges pour faire passer les tutures électros en drive pour s’acheter le pain du quotidien ?
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Vous leur enlèveriez ainsi la seule utilité potentielle !
En l’état actuel des connaissances scientifiques (tiens j’ai déjà lu ça quelque part !) faut pas oublier que ces engins passent éminemment plus de temps immobiles ETavec un fil à la patte (comme un brave toutou) raccordées à une ligne électrique, qu’à rouler !
Faites le petit calcul avec ces données, pour exemple:
Peugeot e208 (source l’argus 23/03/2020):
-Puissance 136 ch
– Autonomie, théorique WLTP 360 km; autonomie pratique, essai autoroute 190 km (conso 24,2 KWh/100 km), route 255 km (18,2 KWh/100 km).
Pas de conso ville dans l’essai mais les raisons sont simples à comprendre.
A 20 km/h de moyenne c’est le seul terrain de jeu un temps soit peu cohérent si on circule dans une ville sans transports en communs.
Parce que si on a métro, tram ou bus, l’achat (avec les risques et emmerdes à venir) ne se justifie plus beaucoup pour aller acheter le pain ou les croissants du matin; sacrés citadins !
-Capacité utile batterie: 46 kWh
-Temps de recharge sur prise 10/16A domestique: (source Autoplus) 36h !!
Là, en passant, y’a intérêt à avoir du câble de qualité sur toute l’installation, ça va chauffer !
Cette donnée est valable pour toute la gamme PSA équipée de la même motorisation.
Si on se base sur un parcours mixte à l’ancienne à 60-65 km/h de moyenne en prenant l’autonomie théorique de 360 km (on traverse des villes, donc on fait chuter la conso route et augmenter en proportion l’autonomie); calcul simple:
360 km à 60 km/h, ça donne 6h de roulage (360/60) à comparer aux 36h de temps de recharge, 6 fois plus long. Si la moyenne est supérieure, le temps de roulage diminue; ça aggrave encore le phénomène.
Si l’on ramène cela à une tranche de 24h, ça équivaut à ne pouvoir rouler que 4h (24/6), voire moins et devoir attendre 18h (dans un lieu sans borne spécifique) avant de pouvoir repartir. Pas facile dans ces conditions de faire un Paris-Marseille. Oubliez carrément l’A/R dans le WE !!
Conclusion; ceux qui achètent ce genre de véhicule feraient sans doute mieux de ne l’avoir qu’en photo.
Pas étonnant que les constructeurs ne s’étendent pas trop sur cette notion de recharge, d’autant plus qu’il n’y a pas souvent d’hôtel/restaurant (digne de ce nom) à proximité de ces foutues bornes et faut-il encore qu’elles fonctionnent. Comme souvent on a mis la charrue avant les bœufs !
Enfin la solution d’une recharge violente à forte intensité va bien finir par générer quelques inconvénients sur la durée de vie des batteries; et là encore silence radio des constructeurs, y compris Tesla, pourtant loin en avance sur les autres !
Avec des batteries de 80 kWh voire plus, et des puissances moteur plus élevées, donc des consommations en hausse suffit de faire le calcul ci-dessus pour se rendre compte le temps de roulage n’augmente pas énormément (autonomie autour de 450 km pour une Tesla) mais que la recharge à faible intensité sur une prise domestique est inconcevable, prise 32A minimum. Donc modification du contrat côté puissance installée, et c’est plus les mêmes tarifs !
Et ça, même quand ils vous font cadeau de la « wall box » (comme ça le prix ne se voit pas !), c’est en plus dans le bilan.
Deuxième conclusion; la supercherie c’est pas vraiment la voiture électrique mais bien d’essayer de nous faire croire que le ravitaillement par batteries est LA solution. Reste l’hydrogène; mais là nous avons à la fois un retard de pus de 10 ans et les interrogations sur de nombreux points (sécurité, réseau de distribution, volumes utiles, etc…
Bref en France, toujours pas de pétrole (ou si peu) mais désormais… plus d’idées. Enfin, plus d’idées qui soient cohérentes.
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