Une arme biologique que le vaccin ARNm contre le palu

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par Ngel Juuf

Alerte dans l’espace de souveraineté de l’Alliance des Etats du Sahel (AES)

…le combat contre l’impérialisme, c’est aussi le combat contre le business pharmaceutique de l’impérialisme…

En mars 2015, un brevet sous l’intitulé «Système de libération de moustiques toxiques dans l’air» voit le jour et prend le contre-pied des techniques traditionnelles de contrôle des moustiques.

Entre 2020 et 2022, la vanne est ouverte aux USA où la Floride et le Texas accueillent le largage de quelque 750 millions de moustiques Aedes Aegypti génétiquement modifiés. Ce lâcher est supposé éliminer la présence du moustique Aedes Aegypti porteur de la dengue, du Zika et d’autres maladies. Ces moustiques OGM sont produits par la technologie d’édition de gènes CRISPR (Courtes répétitions palindromiques groupées et régulièrement espacées).

Or, en 2020, suite au lâcher de moustiques à Bahia au Brésil, une étude publiée dans la revue Nature Reports a exposé les résultats des travaux de scientifiques de l’Université de Yale et de plusieurs instituts du Brésil qui ont constaté la survenue d’une population plus robuste de moustiques : «On ne sait pas comment cela peut affecter la transmission des maladies ou affecter d’autres efforts pour contrôler ces dangereux vecteurs» s’interrogent les chercheurs. Ce constat est confirmé par une autre étude réalisée par des scientifiques de Chine, d’Allemagne et de l’USDA aux États-Unis, révélant des mutations spontanées chez les mouches de laboratoire redevenues de «super mouches» après manipulation génétique.

Pourtant, au-delà des questions de bioéthique que soulève le forçage génétique à propos de son impact sur le génome humain, les ciseaux moléculaires CRISPR ont été classés en 2016 comme armes de destruction massive pouvant s’insérer dans le champ du bioterrorisme pour déverser des virus mortels sur l’homme. C’est pourquoi, il y a une curiosité paradoxale de constater le rush des investissements qui renflouent à coups de millions de dollars, l’installation des labos bio en Afrique, en Asie du Sud-est, au Moyen-Orient, en Ukraine, etc.

L’Afrique est particulièrement ciblée comme terrain d’essais pour éradiquer les espèces nuisibles que seraient les moustiques vecteurs du paludisme. Sous la houlette de la fondation de Bill Gates, le projet Target Malaria s’installe sur le continent avec la singularité de vouloir anéantir la population des moustiques. Pour ce faire, il s’agit de modifier les gènes de moustiques de l’espèce Anopheles gambiae de sorte que leurs descendants ne soient plus que des mâles, ou pour rendre les femelles stériles.

A cet effet, en collaboration avec l’Institut de recherche en sciences de la santé (IRSS), Target Malaria procède au premier lâcher au Burkina Faso en juillet 2019, de 6 400 moustiques mâles stériles modifiés. Ces organismes sont libérés dans le ciel du village de Bana, dans le but d’observer le comportement de leurs mutants dans les environs. Dans l’attente de cette observation, nous voilà en 2023 avec une épidémie de dengue sous le toit du Moro Naba ! Ce même scénario se dénote par les premiers faits de paludisme qui se déclarent en 2023 dans les Keys de Floride à moustiques OGM alors qu’aucun cas n’est apparu auparavant avec les moustiques indigènes.

Comble du pire, le lâcher de moustiques OGM met en danger un vaste écosystème en raison de la destruction des espèces d’oiseaux, de reptiles, de mammifères et de plantes protégées. A ce sujet, la revue Sciences laisse entendre que les essais de largage de moustiques, relève d’un programme d’armes biologiques. Il est question de la destruction des services écosystémiques indispensables à la productivité des sols. Ce préjudice est camouflé à coup de schémas marketing et de services de conseil que les fabricants de vaccins contre le palu mettent en avant sous le prétexte d’un mécénat pour la recherche scientifique.

Qui plus est, depuis le 2 octobre 2023, l’OMS recommande les vaccins RTS, S /AS01 et R21/Matrix-M pour la prévention du paludisme chez les enfants. Ces vaccins antipaludiques doivent être administrés selon un schéma à 4 doses aux êtres sans défense que sont les enfants à partir de l’âge de 5 mois.

De manière induite, Target Malaria projette de faire d’une action médicale à l’allure philanthropique, un cheval de Troie du bioterrorisme vaccinal dont l’assaut prend de l’intérieur, une forteresse AES qu’est le Burkina Faso. La poudrière déstabilisatrice serait le dispositif génique de l’arme biologique ARN. Or, le Burkina Faso ne peut accepter à l’intérieur de son espace, un tel stratagème épidémiologique préjudiciable. Car, le combat contre l’impérialisme, c’est aussi le combat contre le business pharmaceutique de l’impérialisme. 

En effet, comme l’indique par ailleurs le Rapport du 10 avril 2018 de la Banque d’investissement-Goldman Sachs, «L’objectif de l’industrie pharmaceutique n’est pas de guérir les patients – c’est uniquement de faire du profit…Maintenir les gens malades est plus rentable que de les guérir.» Pharmaco Vigilance, Vaccino Vigilance, AES Vigilance vont de pair dans ce contexte de lutte contre le terrorisme multiforme.

Devenue l’industrie la plus puissante du monde et fidèle à la philosophie de sa santé business, le lobby pharmaceutique s’arroge le droit de prendre en charge la formation dans les facultés de médecine pour produire des agents qualifiés qui fonctionnent selon ses objectifs. Ainsi, «Des techniciens voire des technocrates en santé, psychologiquement déformés à propos des motivations qu’ils ont eu à embrasser leur métier ; sont installés dans une fonction opératoire de rentabilité,» vu qu’ils deviennent des instruments au service des intérêts de l’industrie pharmaceutique qui, par leur truchement, donne le ton aux autorités politiques qui s’investissent dans les compétences médicales de leur pays.

Compte tenu des enjeux de civilisation inhérents à l’édification des espaces de vie des humanités en présence, l’AES doit s’extirper des ornières pharmaceutiques qui font payer à l’enfance africaine, un prix suicidaire pour la vaccination. Le contexte politique de l’espace AES est favorable pour réunir de manière impérieuse, les conditions pour l’avènement d’une  réforme radicale des agences nationales de santé dans l’optique de les repositionner de sorte à surseoir à l’influence délétère de l’industrie pharmaceutique sur la santé publique.

A l’image de l’Afrique et considérant la vision de son destin, l’AES a plus que besoin des insoumis de la recherche qui s’engagent sur des bases scientifiques, à promouvoir les solutions médicales fournies sur la base de recherches indépendantes et non orientées vers les intérêts de l’industrie pharmaceutique. .

Tout en veillant à ne pas laisser pour compte les populations dont la caution de validation est incontournable, l’AES doit recueillir en priorité, l’expertise du mouvement citoyen pour l’agroécologie. Ceci, en guise de respect à une sagesse d’ordre éthique et d’éclairage scientifique eu égard aux conflits d’intérêts que l’industrie pharmaceutique entretient avec le milieu médical dont de bonnes volontés demeurent malheureusement désinformées à propos de la finalité du business vaccinal contre le palu.

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19 Comments

  1. Dès qu’on cherche à agir sur la nature, on est assuré de faire des khonneries.
    Mais quand, en plus, c’est fait dans un but malfaisant, on est là encore face à une volonté satanique et destructrice manifeste qui ne cherche pas seulement le profit.. cette même volonté destructrice qui n’a de cesse de manipuler le monde entier depuis le début de la phase covid..
    Et il est évident que ces supposés vaccins anti-palu sont le même fatal poison que les inocula covid et autre grippe..

    1. Contre le palu il y a l’artémisia anua efficace que les labo pharma interdisent pour pouvoir refourguer leurs vax1. Le problème c’est que le cerveau des masses a été lavé sur 2 générations pour faire accepter le dogme vaccinal qui est une hérésie.
      le Dr. Tall Schaller avait écrit il y a plusieurs années un livre sur les catastrophes vaccinales à venir et il ne s’est pas trompé.
      Bien avant lui en 1948 le dr. Tissot avait fait un petit fascicule parlant aussi de catastrophe vaccinale et de la fraude quand à son obligation :
      https://archive.org/details/McGillLibrary-osl_catastrophe-vaccinations_pamphlet-1948-18801/mode/2up

  2. Les apprentis-sorciers sévissent une fois de plus. Après le ravage occidental des effets secondaires de l’ARNm Covid et l’absence de l’Afrique de cette programmation onéreuse, on comprend mieux que leur intention était quand même d’intervenir par le biais du paludisme et rebelote la population attrape la dengue par moustiques ARNm.
    Est-ce que les continents cobayes vont laisser faire ce délire sans plus amples informations où l’on obtient des insectes encore plus dangereux qu’à l’origine et qui écumera encore plus cette planète.

  3. Merci pour les commentaires en lien avec d’autres portant sur le discours choc de I. Traoré !
    Quant au titre, c’est une tournure stylistique en littérature pour dire : le vaccin ARNm contre le palu n’est autre qu’une arme biologique !

    1. Cet article fait suite à celui publié par RI, 12 juillet 2023 sous le titre : “Ne pas faire de la malaria en Afrique, le fonds de commerce d’un vaccin business commandité”. Il invite à s’opposer au lâcher de moustiques OGM et au business vaccinal (Palu) préjudiciable de Big Pharma ! Par exemple, sous nos yeux, les injections ARNm Covid ont mis à nu, un tel business dénoncé par des scientifiques indépendants sans conflits d”intérêts avec les firmes pharmaceutiques. Quant au programme élargi de vaccination (PEV) en Afrique, le cas de figure du scandale DTC en Guinée Bissau a été révélé en 2017, par 2 grands vaccinologues, Soren Morgensen et Peter Aaby, mondialement reconnus. Restons à l’écoute de la science libre de tout conflit d’intérêts et rejetons de surcroît, tous les vaccins contenant des adjuvants ou substances préjudiciables comme l’aluminium, etc. Vaccin, oui, mais sans risque d’effets secondaires gravissimes qui ont conduit l’Inde a porté plainte contre OMS et Bill Gates, au regard des milliers d’enfants décédés ou handicapés à vie, par le vaccin oral contre la polio.

        1. En effet “Vaccin, non, en aucun cas” ! On se comprend, lorsque c’est le Vaccin Big Pharma ! D’ailleurs, les enfants non vaccinés par Big Pharma, sont bien en meilleure santé que ceux vaccinés, et cela, plusieurs études l’ont prouvé ! Cependant, en thérapie naturelle, on sait innoculer des substances “vaccin” dans l’organisme, pour le stimuler à faire face à un pathogène et garantir l’équilibre du corps ! Les communautés des forêts (Bantous, Amazonie, etc.) sont immunisées contre le Palu par exemple, par de telles substances préventives et curatives en même temps, en raison de leurs effets pléiotropes. La nature qui est le premier médecin mais qui est combattue par Big Pharma, nous offre des remèdes préventifs et curatifs pour notre équilibre sanitaire.

      1. Il faut refuser tous les vax1 car comme le dit le Dr. Tall Schaller qui a consulté les archives médicale et les mets à disposition sur son site, il a été prouvé que les vax1 ne servaient à rien et ne protégeaient d’aucune maladie, c’est juste un dogme inventé par les labo pharma et les créateurs de ces labos à savoir les Rockfeller et autres banquiers centraux pour agner beaucoup d’argent en empoisonnant à petit feu les gens hisoire de réduire la population. Cette croyance doit être éradiquée des esprits.
        Le Dr. Tall Schaller a passé sa vie entière et continue à éduquer les gens niveau médecine et à les inviter à se renseigner sur les vax1 qui sont toxiques. Il dit qu’il y a au moins 200 substances dedans néfastes pour le corps.

        1. En effet, FEU sur tous les vaccins Big Pharma ! D’autant plus que, corrélativement à une bonne hygièine de vie, à l’hygiène publique, à l’assainissement par les égouts d’épuration, la prophylaxie, la qualité de la nutrition, etc. ; les “épidémies” ont reculé voire disparu à travers le monde, bien avant la supercherie vaccinale !

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