L'expert Bergoglio fulmine à nouveau : Ces gens "sont fous" !
François a donné une nouvelle interview mercredi, cette fois-ci, ce qui est rare, à une chaîne de propagande américaine, "CBS News". L'interview ne sera pas publiée dans son intégralité avant le mois de mai.
D'après ce que l'on sait, François a abordé les questions de la guerre, de la paix, de la famine et du changement climatique, en répondant par des réflexions profondes telles que : "Les négociations de paix valent mieux qu'une guerre sans fin : Des négociations de paix valent mieux qu'une guerre sans fin.
L'activiste des médias Nora O'Donnell, qui sert le récit du régime, n'a posé que des questions faciles, occultant les nombreux scandales moraux, sexuels, économiques et judiciaires dont François est directement responsable.
Interrogé sur les "négateurs du changement climatique", un terme de propagande utilisé pour étouffer les critiques, le spécialiste du climat François Bergoglio est passé à l'attaque : "Il y a des gens qui sont stupides, et stupides même si vous leur montrez des recherches. Ils n'y croient pas. Pourquoi ? Parce qu'ils ne comprennent pas la situation ou à cause de leurs intérêts. Mais le changement climatique existe.
Bergoglio a tort. Une recherche scientifique sérieuse n'a pas besoin d'être "crue". Elle convainc par des faits qui sont absents de la propagande des hystériques du climat anthropique.
Il fut un temps où une grande partie de l'Europe était recouverte de glaciers. Cette période est connue sous le nom de dernier maximum glaciaire, qui s'est produit il y a environ 20 000 à 25 000 ans, pendant la dernière période glaciaire. À cette époque, l'inlandsis fenno-scandinave recouvrait une grande partie de l'Europe du Nord, tandis que l'inlandsis alpin occupait une grande partie de l'Europe centrale et méridionale. Le recul des glaciers était principalement dû au réchauffement du climat.
Ce réchauffement s'inscrit dans un cycle naturel de périodes glaciaires et interglaciaires. Personne ne prétend que cet énorme changement climatique a été "provoqué par l'homme".
Traduction de l'IA
D'après ce que l'on sait, François a abordé les questions de la guerre, de la paix, de la famine et du changement climatique, en répondant par des réflexions profondes telles que : "Les négociations de paix valent mieux qu'une guerre sans fin : Des négociations de paix valent mieux qu'une guerre sans fin.
L'activiste des médias Nora O'Donnell, qui sert le récit du régime, n'a posé que des questions faciles, occultant les nombreux scandales moraux, sexuels, économiques et judiciaires dont François est directement responsable.
Interrogé sur les "négateurs du changement climatique", un terme de propagande utilisé pour étouffer les critiques, le spécialiste du climat François Bergoglio est passé à l'attaque : "Il y a des gens qui sont stupides, et stupides même si vous leur montrez des recherches. Ils n'y croient pas. Pourquoi ? Parce qu'ils ne comprennent pas la situation ou à cause de leurs intérêts. Mais le changement climatique existe.
Bergoglio a tort. Une recherche scientifique sérieuse n'a pas besoin d'être "crue". Elle convainc par des faits qui sont absents de la propagande des hystériques du climat anthropique.
Il fut un temps où une grande partie de l'Europe était recouverte de glaciers. Cette période est connue sous le nom de dernier maximum glaciaire, qui s'est produit il y a environ 20 000 à 25 000 ans, pendant la dernière période glaciaire. À cette époque, l'inlandsis fenno-scandinave recouvrait une grande partie de l'Europe du Nord, tandis que l'inlandsis alpin occupait une grande partie de l'Europe centrale et méridionale. Le recul des glaciers était principalement dû au réchauffement du climat.
Ce réchauffement s'inscrit dans un cycle naturel de périodes glaciaires et interglaciaires. Personne ne prétend que cet énorme changement climatique a été "provoqué par l'homme".
Traduction de l'IA